On est bien maintenant dans la contestation publique de la politique libérale-austéritaire du gouvernement de F. Hollande. Aux côtés des Nuit Debout les appels à des Banlieues Debout, Hôpital Debout,… apparaissent. Toutes ces initiatives mettent en lumière les luttes en cours, elles permettent la convergence.
Mais elles n’ont de sens que si les luttes se développent et là, il y a encore à faire !
C’est le cas dans la fonction publique et dans l’enseignement notamment. A ce jour la mobilisation reste à construire.
Dans le privé aussi, pour passer un cran supplémentaire, aller au-delà des débrayages ponctuels. GREVE DEDANS ! Jour assis, les bras croisés !
Les « concessions » de M. Valls aux organisations étudiantes et lycéennes ne sont qu’un marchandage qui vise à casser le cadre unitaire pour le retrait du projet sans condition.
Mais l’intersyndicale tient le cap et l’appel à la grève et aux manifestations pour jeudi 28 avril doit rencontrer une plus grande mobilisation encore, une plus grande détermination pour obliger le gouvernement à reculer. C’est l’enjeu.
Alors il faut aussi se saisir de la préparation de la journée pour répondre à l’appel de l’intersyndicale pour « l’organisation d’assemblées générales dans les entreprises et administrations pour assurer le succès de cette journée et décider de la poursuite de l’action pour obtenir le retrait de la loi et l’obtention de nouveaux droits. ».
Le 28 avril, le 1 mai, le ?
C’est le moment ! DEBOUT !