Au menu de cette fête

[rouge]- Après l’édito de Nicolas Benies[/rouge] , grand pourfendeur de Sarkozy et de ses affidés qui voudraient tant tourner la page 68, [rouge]Patrick Silberstein[/rouge] ouvre le bal en [rouge]page 4[/rouge] , il présente l’appel “Mai 68, ce n’est toujours qu’un début” (que nous reproduisons en page 2) et nous laisse apercevoir le « non encore advenu » qui éclaire les ténèbres de l’immédiat. Son compère dans la publication aux éditions Syllepse du pavé La France des années 68, [rouge]Didier Epsztajn nous donne envie de le ramasser. [rouge]- Robi Morder, page 6[/rouge] , décortique la relation complexe entre le Mai des facultés et le Mai des usines… [rouge]- Gérard Chaouat, page 8[/rouge] , restitue le contexte international de cette année 68, l’importance de la solidarité dans la prise conscience d’une génération. Et [rouge]Benoît Bossard[/rouge] nous dit l’horreur du massacre de My Lai. Gérard récidive plus loin, en [rouge]page 20[/rouge] , pour dire la révolte des « carabins » contre les mandarins de Médecine. [rouge]- Alain Lenfant[/rouge], un des 142 qui ont envahi la salle du Conseil de la faculté de Nanterre, un certain 22 mars, pour y tenir une réunion inhabituelle, nous raconte en [rouge]page 12[/rouge] la vie nanterroise. [rouge]- Jean Pierre Debourdeau[/rouge] nous fait vivre, en [rouge]page 13[/rouge], le tumulte des instances du SNI et de la FEN. – Georges Ubbiali fait parler, en [rouge]page 14, Charles Piaget[/rouge] sur Lip avant, pendant et après 68. [rouge]- Marcel Trillat[/rouge], interrogé par son assistant réalisateur Emmanuel Chanial, nous conte en [rouge]page 16[/rouge] la grève à l’ORTF qu’il a si bien vécu. [rouge]- Michelle Zancarini-Fournel[/rouge] met nos pas, en [rouge]page 18[/rouge], dans les traces qu’ont laissées les femmes de 68 pour s’affirmer comme sujets politiques entre facs et usines. [rouge]- Daniel Vey[/rouge] nous livre en [rouge]page 22[/rouge] une autre dimension de la révolte : l’exigence d’une sexualité libérée. Il évoque aussi les J.O. de Mexico après le massacre des étudiants sur la place des « trois cultures ». Il interroge enfin, en [rouge]page 21, Pierre Laguillaumie[/rouge] pour nous rappeler le rôle de l’EE dans la critique radicale du sport. [rouge]- En page 24, Françoise Bleibtreu[/rouge], fille de Marcel Bleibtreu et de notre Lily, nous dit ce qu’une enfant de 12 ans garde de 68 comme bagage pour la vie. [rouge]- Françoise Riegert-Kalifa[/rouge] nous dit en [rouge]page 25[/rouge] la semblable insolence des Lumières et de Mai 68. – Pour compléter – provisoirement ? – le tableau, si je puis dire, [rouge]Philippe Cyroulnik interroge Ivan Messac et Dominique Dehais[/rouge] – deux artistes peintres – sur 68, la société et l’art. [vert]Savourez…[/vert]

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